DÉFINANCER LE RÉSEAU CANADIEN DE LUTTE CONTRE LA HAINE

Un rapport EXPLOSIF dévoilé par les journalistes d'investigation Caryma Sa 'd et Elisa Hategan a révélé l'incompétence massive des gouvernements canadiens, des médias et des forces de l'ordre qui tournent tous autour du Réseau canadien anti-haine (« CAHN »).


Ce rapport — fondé sur des documents gouvernementaux obtenus par l'entremise d'un Accès à l'information et protection de la vie privée (« FOIPOP ») une demande concernant le podcasteur Jeremy MacKenzie et sa communauté en ligne connue sous le nom de Diagolon — a confirmé ce que beaucoup d'entre nous soupçonnent depuis de nombreuses années : que CAHN est une organisation dite indépendante dont le rôle est de blanchir et de légitimer les diffamations contre des personnalités et des organisations que le gouvernement considère comme dissidentes ou qui s'opposent au discours du gouvernement.

Voici comment cela fonctionne :

ÉTAPE 1
CIBLE

CAHN rédige un rapport rempli de calominies et d'hyperboles étiquetant un individu ou une organisation comme raciste, transphobe, néonazi, suprémaciste blanc, etc.

ÉTAPE 2
AMPLIFIER

Les médias grand public écrivent des articles sur les rapports de CAHN pour leur donner une plus grande portée

ÉTAPE 3
PERROQUET

Des représentants du gouvernement perroquent ces accusations en citant des « experts » de CAHN

ÉTAPE 4
DIFFÉRER

Lorsque les médias leur demandent des commentaires, les représentants du gouvernement s'en remettent aux organismes d'application de la loi ;

ÉTAPE 5
FABRICATION

Les forces de l'ordre, ayant mené des enquêtes qui n'ont pas confirmé ces préjugés, compilent des rapports fondés sur des « documents open source », en l'occurrence des médias grand public et des articles de CAHN.

Il n'y a aucune preuve légitime, juste un appel vague à l'autorité fondé sur le statut d' « expert » de CAHN.

CAHN est un organisme sans but lucratif qui se décrit comme « indépendant », mais qui a reçu des fonds massifs du gouvernement libéral actuel. En 2022, CAHN a reçu 268 400$ pour lancer une « trousse d'outils anti-haine à l'intention des écoles canadiennes » et pourrait avoir reçu des subventions supplémentaires dans le cadre du Programme d'action contre le racisme.

Les liens de CAHN avec le Parti libéral vont plus loin que des liens financiers. Le président du CAHN, Bernie Farber, a été nommé par Trudeau à un « comité de sécurité en ligne » et s'est même présenté (sans succès) comme candidat au Parti libéral provincial en Ontario.

CAHN a non seulement sali Jeremy MacKenzie et Diagolon, mais aussi des patriotes canadiens tels que James Topp, Josh Alexander, (Billboard) Chris Elston et bien sûr Maxime Bernier et le Parti populaire du Canada.

Il est tout à fait inacceptable que des organismes gouvernementaux financent ces désotages sans fondement contre les Canadiens !

Joignez-vous à nous pour demander au gouvernement fédéral, et aux gouvernements de tous les paliers, de cesser immédiatement d'accorder d'autres subventions ou contrats à CAHN en signant notre pétition ci-dessous.

Lire l'article complet : Affaire HateGate : Démasquer l'industrie haineuse au Canada en cliquant ici.